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Commentaire de décurion

sur Minarets : la fin de l'ère des sous-entendus


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décurion 1er décembre 2009 21:55

L’islam ne fait pas partie de l’histoire de France.
Aprés la défaite des maures en 732 à poitiers, certains groupes ont été coupés du gros de leur troupes, et n’ont put se replier sur l’ Espagne. Ceux qui ont survécus, n’ont pas eut d’autres alternatives que de s’acclimater sur place. Pour cette période, ce fut le glas de l’épopée musulmane. Au point que beaucoup doivent ignorer avoir eut des ancêtres Maures.
Dans les départements français d’Algérie, exception faite des étrangers, les individus étaient tous français, mais certains citoyens, d’autres sujets . Les premiers français d’origines, étrangers ou indigènes naturalisés, les seconds indigènes en totalité. Donc arabes et Kabyles, français depuis 1945, c’est une connerie. Pour être français, un indigène devait accepter un certain nombre d’obligation légale imposée par l’administration, pour la plupart liées à la pratique du culte musulman et contraire aux lois françaises, il devait en plus accepter l’opprobe de ses compatriotes et des mesures vexatoires, comme l’interdiction du cimetière musulman.
Il y avait deux classes de français en Algérie, une situation qui ne pouvait perdurer, et qu’apparemment le général de Gaule à parfaitement perçu, tout en oeuvrant à la libération de la France, il a préparé la séparation de la France et de ses colonies.
Dés le débarquement en Provence, il a blanchi l’armée d’afrique. A la constitution de 1945, il propose une commauté francophone. Toujours en 1945, croyant avoir le temps avec lui, il mate la rebellion Kabyle, déguisée en manifestation. Ceci donne à la France 10 ans de répit qui ne profiteront pas à de Gaule. De retour au pouvoir de Gaule , réduit le fln à peau de chagrin et cède au vaincu l’Algérie et le Sahara, les populations en prime. A ce moment là, le scénario est que les « français » resteraient sur place, avec les nouveaux algériens. Etaient imprévus les massacres d’européens dont celui du 5 juillet à Oran, qui vit l’armée française consignée dans les casernes. Les algériens désireux d’opter pour la nationalité devaient accomplir les formalités necessaires, autant dire, offrir leur cou au sourire kabyle.
En connaissance de cause, la protection de la France contre l’islam, contre les indigènes et les français de circonstances, a été raisonnée, planifiée, éxécutée. Le prix était l’abandon de l’algérie, du sahara, le sang de plusieurs milliers d’innocents, de l’argent en moins, et des souillures sur le drapeau.
Payée par la souillure, ce que l’on voulait éviter, nous revient comme un boomérang !
On fait l’addition, ou l’on s’esquive ?


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