Le débat sur l’identité nationale est un débat sur la compatibilité de la religion musulmane et de la loi coranique avec la citoyenneté française et avec la loi démocratique.
Le problème des minarets ne dévoile en effet que la partie visible d’un iceberg dont on commence à découvrir que la partie immergée est gigantesque !
Par exemple :
1° La Laïcité c’est la liberté de conscience, d’opinion et de religion.
Cette liberté est garantie dans la Déclaration des Droits de l’Homme qui sert de préambule à notre Loi Fondamentale, qui est la Constitution de la République :
« Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction.... »
Or il se trouve que les musulmans n’ont pas le droit de changer de religion, car la religion musulmane prohibe l’apostasie et la punie de mort.
Il apparait donc bien que la religion musulmane NE PEUT PAS bénéficier de la liberté de religion et que cette religion devrait donc être interdite, selon l’Article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
La Loi d’origine coranique qui infeste le droit de tous les pays musulmans est parfaitement contraire à notre loi démocratique et le respect de notre droit démocratique IMPLIQUE une renonciation à la loi coranique, qui est par définition impossible et punie de mort par cette même loi !
L’incompatibilité est manifeste et il aurait fallu la voir avant.
2° On ne peut pas appliquer le droit du sol et attribuer la nationalité française à des ressortissants de pays qui n’appliquent QUE le droit du sang, comme par exemple tous les ressortissants de tous les pays musulmans, au point que ces pays musulmans interdisent à leurs ressortissants, ainsi qu’à leurs enfants, quel que soit leur lieu de naissance, d’abandonner leurs identités nationales.
Cette interdiction d’abandonner leur identité nationale de naissance se conjugue d’ailleurs avec l’interdiction, sous peine de mort, de renoncer à la religion musulmane, car il n’y a aucune séparation entre la religion et le droit dans les pays musulmans où l’Islam est partout religion d’Etat.