@5A3N5D, Bonjour
Bon, cette fois, sur le fond
Votre argumentation sur les TAC et les KH commencera à m’intéresser lorsqu’elle sera quantifiée.
Une observation scientifique sans quantification est absolument sans aucun intérêt comme guide pour l’action.
A quoi peut, par exemple, me servir de savoir que l’Arsenic est mortel si je ne sais pas à quelle dose ?
Je ne pourrai me servir de cette connaissance de principe ni pour me prémunir, ni pour me débarrasser de quelqu’un, à supposer que ce soit mon souhait.
Philippus Theophrastus Aureolus Bombastus von Hohenheim (1493-1531), dont l’histoire a retenu le surnom plus court Paracelse - inventeur de la toxicologie - disait :
« Tout est poison, rien n’est poison, ce qui fait le poison c’est la dose »
Pour ce qui nous concerne : à supposer que vous donniez la réponse aux deux questions :
1) Quelles sont les valeurs auxquelles le « TAC » ou le « KH » commenceraient à avoir une influence discernable (i.e. différenciable des influences naturelles) et « néfaste » (toutes les influences ne le sont pas) sur la vie marine ?
2) Combien de CO2 faudrait-il émettre, sachant que le volume des eaux de mer est évalué à 1 340 000 000 000 000 000 m3 d’eau, pour atteindre les limites déterminées en 1
Là, vous me verriez soulever, en guise d’intérêt, une première oreille. Là ,en tant que citoyen, je demanderai qu’on me réexplique le TAC et le KH
Ma deuxième oreille se soulèverait lorsque vous m’apporteriez des éléments qui établiraient que les évaluations ci-dessus ont été obtenues par des processus de création du savoir scientifique qui élimineraient les manipulations partisanes de type CRU.
Mais cela, c’est une autre histoire !
Quand à dire qu’il faut continuer à chercher, parce qu’on ne sait pas encore grand chose, je suis en plein accord.