Quand une dette est globale, mondiale, ce n’est plus une dette, c’est une perte de valeurs, une dévaluation globale. N’oublions pas que l’argent, c’est une invention pour faciliter la vie de l’homme, ça n’existe que pour les échanges entre un bien et un autre avec le PIB en point d’orgue. Il pourrait même disparaitre. Moins de potentiels et le réajustement est fait. La nature le demandait, elle s’essoufflait. Il fallait restreindre ou mourir comme la grenouille qui voulait se faire plus grosse que le boeuf.
L’argent dévalué, lui, n’a pas disparu. Il est sur les comptes, qui n’ont jamais été aussi important malgré les taux au plancher.
Les entreprises se lancent dans une entreprise de charme avec des obligations aux rendements légèrement supérieures aux emprunts d’Etat. Les ventes sont clôturées de plus en plus vite, puisque les taux de rendements ne peuvent augmenter pour le moment.
Inflation négative.
Les salaires liés à l’index sont en baisse.
Les actions se sont vus octroyées de rating bien plus bas qu’avant la crise. C’est moins le petit épargnant qui s’y intéresse.
La confiance des entreprises augmente, mais c’est au détriment des jobs qui disparaissent.
L’emploi de demain est le problème majeur et c’est la manière de le stabiliser qui sera à inventer. Problème qui dépasse les limites des frontières.
Informations reçues de par chez nous, évidemment. En France je ne sais pas.
La Générale, cela n’existe pas chez nous. BNP Fortis liquide 750 personnes et fait des bénéfices.
La périodes des soldes est continue.
The show must go on.