Quest-ce que le GIEC :
http://www.manicore.com/documentation/serre/GIEC.html
http://www.manicore.com/documentation/serre/ouvrages/calembredaines.html
« Périodiquement, des personnes signent des articles ou des livres, généralement virulents, exposant que toute cette affaire de réchauffement n’est qu’une chimère de scientifiques et que le plus urgent est de ne pas prêter attention à toutes ces mises en garde. Ils ajoutent souvent que de lutter contre le changement climatique va »coûter très cher" et donc que nous devrions nous dépêcher de nous occuper d’autre chose.
Je vous propose ici quelques commentaires sur quelques unes de ces publications. Avant de lire l’une de ces critiques, je vous conseille vivement de regarder au préalable :
la page sur le GIEC, qui expose comment se fait la synthèse des connaissances scientifiques, et quelques éléments sur la confiance que l’on peut accorder au processus,
la page exposant qui sont les « scientifiques », et s’il est possible de les soupçonner d’être à la solde des écologistes.
Enfin quelques ouvrages « contestataires » ne figurent pas ci-dessous, mais ce n’est que faute d’avoir eu le temps de rédiger un commentaire, qui serait à peu près du même tonneau que ceux que vous pourrez trouver ici. Cela concerne notamment :
Le progrès et ses ennemis de Guy Sorman, que j’ai acheté, lu, et qui est assez proche du livre de Fourçans,
L’imposture verte de Pierre Kolher, que je n’ai pas acheté, parce que je lis trop souvent que de bons chiffres de vente signifient qu’il y a un fonds de vérité, mais que j’ai feuilleté en librairie, et qui est lui aussi bâti sur le postulat que les discours des militants écologistes ou des journaux reflètent fidèlement les déclarations des scientifiques (ce qui n’est pas le cas). En outre il contient quelques perles savoureuses qui sont probablement le reflet du niveau de connaissances scientifiques de l’auteur (il parait que si la glace flotte sur l’eau, c’est parce qu’elle contient des bulles d’air !!!),
Le lecteur notera que nulle part ailleurs sur mon site je ne prétends être en mesure de confirmer ou d’infirmer la validité des informations de nature scientifique qui sont exposées : je n’ai personnellement jamais calculé ou mesuré le rayonnement solaire à la surface de l’atmosphère, ni la vitesse des courants marins, ni vérifié la couverture forestière de la planète, ni analysé moi-même les carottes de glace de l’Antarctique, ni manipulé un spectromètre de masse, sans oublier d’avoir vérifié l’étalonnage des appareils de mesure...
En conclusion, je me contente de reproduire ce que j’ai pu lire dans des publications scientifiques (dont le rapport 2001 du GIEC), et de donner mon avis sur la cohérence de ce que j’ai pu comprendre,
mais me sentirais bien en peine de contester quoi que ce soit. Tout au plus puis-je me risquer à une petite mise en perspective ou à un commentaire quand les résultats me sont directement accessibles. D’autres se sentent en mesure de contester, tels les auteurs ci-dessous ; je les soupçonne de ne pas être de la meilleure foi du monde !
Et maintenant, passons aux choses sérieuses : en cliquant sur le titre vous accéderez à la critique.
Voici un type sérieux : jancovici ; ouais, d’accord il n’est pas opposé au nucléaire, mais çà n’est pas une raison pour ne pas aller se formater l’esprit chez lui : clarté, rigueur, logique, chiffres et aucune polémique. Si vous vous sentez ensuite de contester ce que dit ce monsieur, chapeau, mais va falloir se lever tôt.