@L’auteur,
Je sais qu’il y a des discussions au « sommet » à ce sujet. Je ne connais pas les décisions. Le cloud peut s’entrevoir pour de petites applications périphériques. Le problème, c’est le lien qu’ils peuvent avoir avoir les bases de données qui resteraient en local avec les ’pieds’ non dans les nuages. Les interfaces, ce n’est pas une mince affaire. Si les systèmes satellites ne sont pas intégrés, c’est bonjour les dégats en temps et en recherche pour consolider le tout.
L’équilibre, une question qui n’est pas seulement « y a qu’à ».
Je ne sais ce que vous entendez par terminaux passifs. La technique par objets en programmation n’a pas attendu ni Internet, ni le cloud. Les serveurs Oracle non plus. Les serveurs sont aux Etat-Unis et non plus en Europe. Pour qu’ils aient un intérêt, il faut que la customisation avec les procédures de validation des inputs en fonctions des bases de données qui ne sont pas dans le cloud.
Savez-vous qu’il existe encore beaucoup de firmes qui font leur exploitation en Cobol ?
Le rêve d’un de HAL, ordinateur central et mondial., Cela reste de la fiction même avec les puissance de calcul d’aujourd’hui. Dans le domaine scientifique, cette force de calcul est bien loin de satisfaire les ingénieurs.
« ...le Cloud arrive à point nommé pour faire face à un surcroit de demande informatique, en période de pénurie financière. »
Peut-être, mais ce n’est pas la machine qui coute le plus cher, ce sont ceux qui travaillent autour pour la faire fonctionner.
Et cela je ne vois pas la raison de faire l’inverse.