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Commentaire de FlorenceM

sur Qui connaît Oskar Freysinger, l'anti-minaret décomplexé ?


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FlorenceM 8 décembre 2009 11:12

C’est marrant ça comment y’a toujours quelques adeptes de la langue française et de ses possibilités dialectiques, pour prendre les mots en otage et les servir en brouette d’insultes et invectives du c’est toi qu’est con bouffon ignorant... 

Pas une seule idée ou exemple qui donnerait envie d’aller voir plus loin, mais plus grave, ça fait passer la majorité des classés musulmans pour des êtres pris dans une réactivité qui leur empecherait toute ouverture sur le monde autre forcement différent, sur l’admission d’un monde hors coran et qui pourrait meme etre meilleur à vivre comme quand on voyage et qu’on se dit, que ces gens sont beaux et ont mieux appréhendé et compris certains fonctionnement du vivant comme ça m’arrive souvent de le constater dans les cultures imprégnées de bouddhisme.
Demandant à une amie affirmée musulmane pourquoi elle se sentait musulmane, elle répondit que ça lui parlait, qu’elle y trouvait dedans une sorte d’echo à un besoin d’identité. 
Avoir un truc qui nous parle à l’intérieur : phenomene humain du besoin de la croyance en soi et de la croyance tout court.
Phénomene partagé partout sur la terre des hommes, les femmes elles croient davantage à la puissance de leur ventre qui crée sans recours à un dieu extérieur et satanisé à loisir pour cette meme raison.
De cette amie et musulmane et femme parfois haie et menacée par ses freres musulmans en tant qu’artiste qui osait representer l’interdit, sortait aussi une haine puissante de l’autre l’ennimi Salman Rushdie qu’il fallait tuer selon ses propos.
Alors encore une fois je me demandais quel échec dans la comprehension du vivant de cette incapacité d’identifier en soi ce qui nous fait souffrir et de le balancer dans la tronche de l’autre à partit du moment où l’autre ose parler de soi.« Je n’ose pas me montrer nue mais celle qui ose est une pute, je n’arrive pas à exprimer ce que je pense mais celui qui exprime ce qui me heurte n’a droit qu’à des brouettes d’insultes parceque je suis incapable d’identifier ce qui touche à mes résistances. »
C’est complexe l’immunité émotionnelle, alors la tentation de faire simple c’est de trouver un bon gros texte exterieur où y’a aucune tete qui ne peut depasser et de dire c’est ça la vérité, en dehors de ce texte point de débat ni de salut. Les emotions seront bien gardés par les sentinelles de la vérité, la frustration sera la norme et les revélateurs de frustrations seront les coupables, par préventions, cachons-les.
Ne buvons pas d’alcool des fois qu’on se lache un coup en dejouant la sentinelle intérieure
mais par contre si y’en a un qui passe par là et qui dit que ma conception du vivant est morbide, alors là j’ai le droit etle devoir de corriger le porc bouseux jusqu’à son extermination au moins symbolique. C’est ça que disent les brouettes d’invectives, ça porte ce paquet de frustrations d’etre mal identitfiées digérées, ça crache du plus profond des tripes et de la cervelle pour dire la dimension de son impossibilité à se laisser toucher, à entendre.
Oui ça fait un peu peur ce type de handicap mais ça se soigne très bien... en allant voir ailleurs en dehors de ses repères en décidant d’etre honnete, on ne fait que passer sur terre, c’est pas si difficile à admettre que l’éphemère peut se comprendre sans Dieu mais que c’est si bon de peter au dessus de son Q.I.

Oui, une moquée peut etre belle comme une cathédrale ou un temple, les batisseurs s’appellent des ouvriers et des artistes, pas des croyants ...comment on peut tout recuperer pour soi ! Le pouvoir recupère toujours les architectures des conquis ainsi que la nourriture et les croyances. Rien que le pouvoir chinois là dessus il est fort...y’en a qui vont se faire manger tout cru...

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