Bonsoir Finael,

Le droit, ou plus précisément les règles à suivre, est-ce à l’éducation nationale ou aux parents de les enseigner ?

On est responsable de nos enfants avant qu’ils atteignent leur majorité.
Si dans ta jeunesse tu avais fait une bêtise assez importante, qui aurait été puni, ton prof ou tes parents ?

Je conçoit que tout les parents ne peuvent pas donner une éducation morale, parfois pas laxisme, parfois parce qu’ils rentrent de leur taf et qu’ils sont exténués de leur journée , enfin cela peut-être pour pleins de raisons, chacun la sienne et si on en prend conscience et bien on essaie de l’améliorer et si on n’y arrive tant mieux, mais il restera toujours des jeunes qui n’auront pas cette éducation, donc là oui qu’il y ai une éducation parallèle qui se face par l’éducation scolaire, il faut bien perpétuer ce que l’on nous a appris, nos principes, nos réglés civiques de citoyens, le Bonjour, le bonsoir, le s’il te plait, le merci et toute la clique. Bien sûr là, on ne parle pas de droit pur, juste d’éducation civique et ça, ça ce fait plus jeune !

Quand on choisis première et terminal S, on est plus tourné vers le scientifique, et l’histoire c’est de de science, « il y a toujours du nouveau à découvrir dans le passé » .

Quand on fait S, je pense (je n’ai pas la science infuse et n’ai pas non plus fait de statistiques sur le sujet) que l’on est plus envieux d’histoire que de droit et si les étudiants avaient demain à faire un choix entre le droit et l’histoire, je pense (même parenthèse que plus haut) que beaucoup d’entre eux choisiraient l« histoire. 

Je suis comme toi et d’autres, j’aime l’histoire et quand le prof est un bon prof en l’écoutant on apprend en voyageant dans le temps, quand le prof est bon on imagine, on se fait une sorte de film, et en principe on s’en rappelle.

Des films que se créaient des jeunes qui rendent sûrement plus joyeux que pourrait les créer le droit. D’ailleurs comment peut-on se faire un film avec du droit ?

Je prends partie car à mon époque j’ai fait D’  »D-prime" et je n’aurais pas aimé faire de droit.

Ce n’est pas parce qu’il y a de plus en plus de lois et décrets que cela donne une raison de supprimer l’histoire, ou mieux, ce n’est pas une raison pour oublier nos ancêtres surtout à l’heure où l’on parle d’identité nationale.