Commentaire de pingveno
sur L'identité nationale : le vrai problème c'est l'américanisation (suite)
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« Mais on ne peut pas vraiment décrire l’influence américaine comme un rayonnement ; il s’agit plutôt d’un nivellement par le bas [...] Non seulement l’anglais est la langue de Shakespeare, mais il reste encore à trouver un équivalent français au barde. »
Désolé Annie si je trouve ces deux phrases contradictoires. La langue que j’ai dû apprendre pour des raisons professionnelles est tout sauf la langue que Shakespeare utilisait il y a des siècles. Et même si c’était le cas ce n’est certainement pas la lecture de Shakespeare que mes recruteurs attendraient de moi. Précisément parce que comme vous dites nous assistons à un nivellement par le bas. La langue des affaires n’est pas une langue de culture.
Derniers commentaires
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12/12 10:10 - Djapaskero
Eh bien, vous avez une vision bien romantique de l’histoire !
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12/12 09:31 - patrickk
Mettons nous bien d’accord : il y a des très bonnes choses dans la production américaine, (...)
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12/12 07:33 - Djapaskero
Et comparer avec Barbara, Brassens ou Gainsbourg. Il faut comparer les séries américaines avec (...)
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11/12 17:39 - Sylvain Reboul
Un débat sur l’identité nationale est sans issue car il débouche nécessairement sur sur (...)
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11/12 17:29 - Martin D
chaque jour apporte son lot d’islamophobie...l’objectif est simple : détourner les (...)
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11/12 16:44 - courageux_anonyme
Ah moi c’est l’inverse, j’en ai jamais vu boire de l’alcool mais qui me (...)
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