J’ai dû relire par deux fois l’article pour comprendre au mieux ce que voulait dire l’auteur.
Car ma première réaction, était que je lisais quelqu’un qui apparement n’hésite pas à lyncher les professeurs qui n’osent pas affronter frontalement une classe de 35 jeunes en furie tout seul.
L’auteur fait une erreur dans son interprétation d’un message que peut renvoier telle ou telle action/réaction envers les élèves. Il n’y a pas de méthode miracle fiable pour dealer avec ce genre d’élèves, or l’autorité suppose de gueuler ou d’utiliser parfois la violence (physique ou légale, comme les heures de colle) pour se faire respecter. C’est un peu pourquoi ça sent l’éxagération, car un professeur qui tente de résister s’expose soit à des élèves qui gueuleront un peu plus fort (défier l’autorité est toujours drôle), soit à une sanction disciplinaire voire judiciaire, ce qui donne l’impression que l’attaque sur les profs est comme tirer sur l’ambulance...
Mais il est vrai qu’on simplifie trop sur le prof, qui doit tout faire, alors qu’il y a aussi toute une structure dérrière qui ne l’aide pas et c’est là que l’auteur frappe avec une assez bonne justesse.
Mais la façon de le dire n’était pas la bonne.