Je me suis déjà présenté, lors d’un autre article, comme « climato-sceptique » :
- Je pense en effet que les connaissances actuelles, trop partielles et trop récentes, ne permettent pas d’envisager avec certitude les scénarios catastrophiques que l’on nous présente à longueur de média.
- Je pense aussi qu« à se focaliser sur un phénomène (la teneur en CO2 de l’atmosphère), on évite de parler de bien d’autres formes de pollution dont les effets - eux - sont bien réels et mesurables : empoisonnement des sols et nappes phréatiques, gaspillage insensé de ressources, etc ...
- Et enfin (et comme beaucoup de scientifiques - encore faut-il lire des revues ou articles assez rébarbatifs) que l’on ne connait tout simplement pas le degré d’influence des activités humaines dans un réchauffement dont l’ampleur fait toujours l’objet de débat.
Mais sceptique ne veut pas dire négationiste.
Je constate que les débats sont âpres entre différents groupes de recherche. Que des gens beaucoup plus qualifiés que moi ne sont pas d’accord entre eux. En conséquence j’évite de me prononcer avec certitude et définitivement, dans un sens ou dans l’autre
Donc je ne peux être d’accord avec l’auteur, même si de nombreuses mises au point dans son article sont exactes, même s’il a raison de dénoncer un phénomène de »climato-terrorisme« , mais qui nie purement et simplement l’existence de problèmes.
»business as usual".