Si l’on se sert aujourd’hui de l’écologie comme d’un soutien à l’économie de marché et d’un préalable à la gouvernance mondiale, rien d’étonnant qu’elle ne soit alors que tartuferie bourrée d’artifices.
La jeunesse qui « se la joue », « se fait son film », en suivant scrupuleusement le scénario de quelque « Idiocracy » future, donne bien évidemment dans le panneau.
Jamais n’avons-nous eu jeunesse aussi inculte, dépolitisée et ignorante de la complexe réalité du monde !
Dès lors si le covoiturage, cette forme d’jeun et écolo d’un collectivisme désormais voué aux gémonies -car désuet et honteux-, a vocation à un succès certain, ce n’est que pour conduire tout ce petit monde extatique et décérébré... droit dans le mur, le protable collé à l’oreille, le Gps dans le fion, et avec le virtuel comme seule réalité !