Louise,
lorsque l’on embrasse une foi, on doit être capable d’en voir les failles,
lorsque l’on aime quelqu’un on doit être capable de le critiquer,
vous, vous en êtes incapable,
vous êtes dans l’aveuglement.
franchement, en croyant servir votre cause, vous la désservez.
avez vous bien lu ce que j’ai écrit ?
il est évident que le fidèle qui va à Lourdes, et décide de prélever de l’eau à la source ne la payera pas,
mais j’ai évoqué autre chose.
vous n’êtes pas sans savoir que des commerçants vendent des flacons d’eau, disant que l’eau est gratuite, mais qu’ils ne font payer que le contenant, ce qui est plutot cynique, n’est-ce pas, car en fin de compte, le fidèle va acheter un flacon en plastique d’un centilitre d’eau 1,20 euros.
l’église aurait interdit à ces commerçants de prélever l’eau, mais les commerçants la prélève quand même, et en milliers de litres, sans en être empêches.
comment expliquez vous cela ?
mais tout çà c’est une goutte d’eau dans l’opulence financière dans laquelle baigne l’église catholique. êtes vous allé voir l’exposition qui s’est tenu il y a peu en allemagne ou l’on montrait une petite partie du trésor du Vatican ?
vous auriez du.
ensuite, vous avez courageusement fait l’impasse sur ce que je vous ai écrit au sujet de Monseigneur Berranger, qui en 1997 a fait un discours de repentance, au nom de l’église catholique, dans lequel il évoquait l’attitude contestable de l’église catholique lors de la seconde guerre mondiale. (je vous ai donné le lien, l’avez vous ouvert ? il y a la totalité de ce discours)
je crois savoir que lorsqu’il y a repentance, il y a fatalement quelque chose à se reprocher, non ?
ouvrez donc un peu les yeux au lieu de rejeter en bloc ce que j’ai écrit, en tentant de diaboliser mes propos, ce qui n’est pas très chrétien.