je ne peux effectivement pas tour lire et remercie ceux qui me donnent d’autres pistes intéressantes sur ce sujet passionnant. Pour les trolls à la Max, ils feraient mieux de faire amende honorable : j’avais bien flairé quelque chose qui se confirme aujourd’hui : l’implication directe de la CIA dans cette dissimulation. Le moment est grave, on peut s’attendre aux pires moments là : elle ne va pas rester ainsi à absorber les coups de poing. Et une CIA qui se venge, on sait ce que ça donne... un petit tour en Corse, pour les fêtes ?
Personne ne croit plus, quarante-quatre ans après, à la version officielle, celle du rapport Warren, expliquant qu’il n’y avait qu’un seul tireur, Lee Harvey Oswald, qui, ça tombait bien, avait eu des amitiés russophiles. Différents films, dont le terrible film d’Abraham Zapruder, longtemps interdit de diffusion, montrait effectivement que le tir qui avait emporté la moitié de la calotte crânienne du président était bien venu... de face, et à la même hauteur, soit à l’opposé de la trajectoire officielle de la balle « rebondissante » venue dans le dos. Le rapport Warren avait en effet conclu à cette mystérieuse balle à ricochets comme source directe du décès présidentiel. Un rapport établi en grande partie par le représentant local de la CIA, qui n’était autre, à l’époque, à Dallas, que George H. W. Bush, le père de l’actuel président des Etats-Unis. Bush père était bien à Dallas ce jour là, comme il était à New-York le 11 septembre 2001 en train de déjeuner avec... l’un des frères de Ben Laden, Shafig, au nom du groupe Carlyle. Chez Bush père, on est toujours aux grands rendez-vous de l’histoire il semble bien.