Une loi mettra fin à cette pratique honteuse qui est une violation de l’égalité et de la dignité de toute les femmes et qui est de plus clairement une pratique discriminatoire, puisque seules les femmes sont concernées.
L’application de cette loi sera très facile, car il n’y aura aucun problème pour repérer les éventuelles contrevenantes.
Il est à noter que cette loi sera le premier pas, et seulement le premier pas, dans la reconnaissance, toutefois un peu tardive, que les prescriptions de l’Islam et que les moeurs musulmanes sont contraires aux principes de la République démocratique et laïque.
Cette reconnaissance parait un peu tardive, dans la mesure où il n’était pas difficile de s’apercevoir que l’idéologie islamique est, dans ses principes mêmes, antidémocratique, et qu’elle ne connait pas non plus la distinction entre spirituel et temporel qui a permis la Séparation de l’Eglise et de l’Etat en 1905. Cette idéologie est donc aussi antilaïque.
Si l’Islam en Europe n’évolue pas, et très rapidement maintenant, il s’expose à voir certains de ses enseignements actuels déclarés contraires à la loi Républicaine, qui prime sur toutes les autres lois sur le territoire de la République, même sur celles qui se prétendent d’origine « divine » !
En particulier, l’Islam est contraire à la Déclaration des Droits de l’Homme qui prévoit expressément que l’adhésion à toute opinion doit pouvoir être réversible, or l’Islam interdit curieusement l’apostasie et la punie de mort !
Voilà une condamnation à mort qui n’est pas applicable sur le territoire français !
La vérité qui transparaitra peu à peu est que l’adhésion à la République française et à ses lois implique l’abandon du pans entiers du message islamique et c’est le cruel dilemme auxquels tous les musulmans vivant en France seront désormais OUVERTEMENT confrontés.
La République n’a pas cherché cette confrontation, ce sont les radicaux musulmans eux-mêmes qui l’ont organisé, en provoquant un certains nombre d’affaires (affaire de la répudiation de Lille, affaire du port du « burqini » dans une piscine municipale) qui ont conduit la République à réagir et à réaffirmer ses lois et ses principes.
Commençons par reposer les définitions de notre identité nationale, c’est le sens du débat en cours. La laïcité, ainsi que la loi de Séparation des Eglises et de l’Etat qui en découle, font partie des principaux fondements de notre société démocratique depuis 1905.
Puis nous chasserons de la République tout ce qui sera contraire à ces fondements et à ces lois et c’est l’Islam qui devra nous dire lui-même s’il est compatible.
Le piège est désormais tendu.