A
l’auteur.
Vous
avez raison de stigmatiser la dérobade de l’opposition, à laquelle on pourrait
ajouter les nostalgiques de la Chiraki qui ne souhaitent pas un débat public
qui démontrerait combien leur universalisme béat est loin des aspirations du
peuple.
Il
est vrai que la laïcité est en danger, et que tous les républicains devraient,
pour une fois, s’entendre pour la sauver.
Le
problème est qu’à côté des idiots utiles et des internationalistes socialistes
ou anarchistes, oeuvre en sous-main cet islamisme que l’on dit Ultra
minoritaire, mais qui s’infiltre dans toutes les structures d’influence.
Sur
Agoravox, je me heurte à une censure honteuse qui n’a d’autre justification que
ma critique envers l’Islam :
Deux
de mes articles qui traitaient justement des sujets qui fâchent, sont toujours
bloqués par les « modérateurs » d’agoravox, qui apparemment sont infiltrés par
des censeurs fascisants qui veillent à ce que la libre pensée ne sorte pas des
chemins qu’ils entendent baliser. J’invite donc tous les défenseurs de la
liberté d’expression, qu’ils partagent ou non mes opinions, à faire un tour sur
la page des modérateurs et de jeter un oeil sur mes articles pour voir s’ils
sont aussi condamnables que ça au point d’être interdit de débat public selon
la méthode que condamnait déjà Voltaire.
Vous
trouverez le premier dans la rubrique religion sous le titre :
« la morale et la démocratie ».
À
l’occasion de la votation suisse interdisant les minarets, je démonte ce qui
constitue les droits de l’homme et ceux du citoyen.
Le
deuxième article censuré se trouve dans la rubrique « politique et citoyen »
sous le titre :
«
identité nationale, l’opinion de Samuel P. Huntington ».
J’envisageais
de détailler l’opinion de ce spécialiste mondial des civilisations dont le
livre « le choc des civilisations » explique des mécanismes qui ont été
dramatiquement confirmés par les attentats de New York et de Madrid. Mon but
était de m’en tenir à des citations de cet auteur sur des sujets ciblés par une
dizaine de questions sous la forme d’une interview fictive. Dès le premier article
d’une série qui devait en comporter cinq et où je ne faisais encore
qu’expliquer le thème dont j’entendais disserter, je me suis heurté à un
blocage de la censure, muette et souveraine !
Merci à tous les auteurs
de ce site qui ont négligé jusqu’alors d’être aussi « modérateurs »,
de faire pour une fois cet acte
citoyen pour défendre la liberté d’expression !