Commentaire de Christian Delarue
sur L'auto-entrepreneur prolétaire, un travailleur indépendant sans code du travail
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Ce n’est pas moi qui pose la vision en terme de gentil-méchant à la place du fait de la position dans le rapport social. Dire qu’il y a des patrons gentils et des salariés méchants - ce qui est vrai - ou le contraire - qui est vrai aussi - ne fait pas avancer la réflexion. Elle l’a détourne.
Dans un tel rapport social, il y a rapport de subordination, rapport de pouvoir et souvent rapport de domination et même harcèlement. Je n’invente rien. Le bisounours existe mais ne dure pas !
Derniers commentaires
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01/01 11:01 - Christian Delarue
Si vous lisez bien mon article, il dit qu’il y a un double déclassement social et une (...)
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01/01 10:36 - Christian Delarue
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31/12 17:34 - Philippe D
Il y a de gentils patrons mais ils ne le restent pas quand la crise leur imposent de licencier (...)
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31/12 17:18 - Christian Delarue
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31/12 13:16 - Jean-paul
Ca y est c’est reparti ,les sales patrons contre les gentils employes ,mais (...)
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31/12 11:38 - Christian Delarue
Tous les travailleurs indépendants sans salarié ne sont pas prolétarisé. Pour certains (...)
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