« Je crois qu’on ne parle pas de la même chose » (Barrous)
En effet. La question est : de quoi parlons-nous ? Question que léon s’est évertué à brouiller parce qu’elle le gêne.
Pour mémoire, la question est partie de cette affirmation de Razzara, 7 janvier 13H58, je cite : « Lors des études cliniques qui,..., n’ont porté que sur environs 1000 sujets, il y a eu des décès et d’autres effets secondaires significatifs. (confère le document de l’emea mis en lien). Un fait qui, en raison des échantillons statistiques faibles, aurait du constituer un signal d’alarme majeur en prévision d’un passage à la vaccination de masse sur plusieurs millions de sujets. D’autant plus, précision d’une extrême importance, que les sujets choisis pour ces études sont normalement des sujets en parfaite santé ! C’est la un critère premier de toute étude clinique sérieusement menée ».
A quoi léon a répondu : « Il me semblait que plus l’échantillon était petit moins la fréquence d’apparition d’un événement était conforme à sa probabilité au sens statistique et donc éloignée de sa fréquence sur un grand échantillon. Pourtant c’est bien là-dessus que vous vous fondez pour prétendre à ces risques, non ? Faudrait savoir... »
J’en ai donc conclu que léon utilisait un raisonnement fallacieux, un sophisme en quelque sorte, pour invalider l’argumentation de son adversaire et je suis intervenu en disant : « Si un décès survient sur petit échantillon de personnes vaccinées, on ne doit donc pas dixit léon, le prendre en considération du fait que l’échantillon étant très petit, la fréquence d’apparition ne serait pas significative ! »
Maintenant, à vous de voir si vous avez compris pourquoi nous en sommes arrivés là ou si vous voulez continuer cette discussion dans l’abstrait et sans autre forme de relation avec le litige initial.