Jetlag oblige, je reviens !
Ah les français... Quand ils n’aiment pas l’Amérique, ils vont loin... 1977 ! Vous rigolez ! des contrôles, j’en ai eu de jour comme de nuit. Oui, ils sont méfiants et je trouve cela normal, oui ils vous réprimandent mais ils ne le font pas avec un carnet à souche à la main, faisant le tour de la voiture et cherchant (en trouvant bien évidemment comme le font si bien les policiers français, si vous voulez je vous ferai pas de mon exemple français). Ils vont rester avec vous, vous faire la leçon, vous expliquer la sécurité puis ils vous laisseront partir en vous souhaitant bon voyage.
Vous tombez en panne en Amérique ? Vous ne savez pas d’où ils sortent mais ils sont là pour vous protéger, vous et les automobilistes.
La bouteille d’eau en France ??? Je vous rassure, je connais. Dans un restaurant chinois (mai 2009), à la fin du repas, je voulais prendre la bouteille d’Evian que je n’avais pas bu mais pourtant bien payé. Le restaurateur a refusé (consigne et tout le reste !). Après une discussion houleuse, devant ce comportement et par principe, j’ai exigé l’eau d’Evian, surveillant bien que ce restaurateur mettent l’eau du contenant (et non l’eau du robinet) dans une bouteille de vin rinçée (quelle honte pour les restaurateurs français !!!).
Un autre exemple américain cette fois ci : je vais chez Red Robin (septembre ou octobre dernier), je commande un hamburger mais je souhaite du boeuf au lieu du poulet. Ils se trompent. Je redemande la carte, simplement pour vérifier et sans commentaire. Ils se doutent de quelque chose et à la fin du repas, le serveur me demande le pourquoi du comment. Je lui explique. Je n’ai pas le temps de partir que celui ci revient avec le même hamburger au boeuf dans un emballage qu’il m’offre chaleureusement (avez-vous déjà vu cela en France ? Moi, jamais). Je n’ai pas pris ce hamburger, lui offrant de le manger lui même. Depuis, je suis très souvent chez Red Robin.Que de leçons là encore...
Des exemples comme ça ? Je pourrai écrire un livre... Mais je sais que vous ne l’achèteriez pas...