En même temps qu’on poussait le libéralisme, qui a développé le chomage, la pauvreté, l’individualisme, on ouvrait les frontières et on laissait arriver des flux d’immigrants, notamment grâce aux accords de Schengen.
Des lors il était évident que le communautarisme, le racisme et la délinquance des banlieues allaient exploser.
Certains hommes politiques, les mêmes qui ont soutenu ces politiques destructrices, ne manquent pas une occasion de montrer du doigt les méchants délinquants, l’incivisme, les zones de non-droit, dans des buts politiciens qui permettent de faire oublier leurs choix passés lamentables et de faire semblant de promouvoir une politique populaire.
Et il se trouve toujours un certain nombre d’idiots inutiles comme l’auteur pour embrayer le pas et endosser les habits des chantres de l’insécurité. Un certain nombre de beaufs qui vont avaler cette manipulation avec d’autant plus de plaisir qu’elle va dans le sens d’un certain racisme et d’une certaine islamophobie.
Les faibles aiment toujours qu’on leur désigne des boucs-émissaires pour déverser leur haine et leur insatisfaction.
Ils devraient se souvenir que ce sont eux qui ont soutenu par leur votes et leur aveuglement les hordes de politiciens cyniques, vendus et incapables qui nous ont amené dans la situation d’aujourd’hui.