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Commentaire de Christian Delarue

sur Pourquoi l'économie mondiale ne s'est pas effondrée en 2009 ?


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Christian Delarue Christian Delarue 16 janvier 2010 17:27

Les 1% les plus riches représentaient 10% du PIB en 1979 et 23% aujourd’hui. 53 % en 2039 dit l’auteur de ce bon article. Mais il y a aussi les 2% ? Et les 3% ?
Il est bon de critiquer uniquement une oligarchie financière au-dessus des nations et de blanchir (si je puis dire) le patronat industrilel et commercial des moyennes et grandes entreprises. Ils participent pourtant à la baisse des salaire et à l’investissement qui stagne.

Pour certains , "la finance parasitaire siphonnerait l’économie réelle". Cela dédouanerait le capital productif comme bon capitalisme. Pour ATTAC et sa branche finance, la financiarisation n’est pas un facteur autonome au-dessus d’une économie abstraite sans rapport social. Quant à l’oligarchie fiancière lle n’est pas isolée du capital productif. Ces propriétaires du capital sont puissament actifs au sein d’une même classe dominante.
 
Les libéralisations ont permis d’accroitre le taux de profit mais pas le taux d’accumulation. Pour être plus précis, les profits augmentent globalement ceux financiers et non financiers et ils ne vont ni à l’investissement ni aux salaires, surtout pas à ces derniers qui baissent depuis 20 ans. Le thèorème d’Helmut Schmidt ( ) est invalidé depuis bien longtemps. On en le cite qu’à ce titre !
 
ATTAC et sa commission finance met aussi l’accent sur l’imbrication des acteurs financiers. Il n’y a pas d’un côté les banquiers et de l’autre les chefs d’entreprises et le mangement car chaque grande entreprise s’est dotée d’un département finances chargé du suivi de la profitabiité sur l’organisation de l’entreprise.
 
Les politiques de libéralisation financière sont de quatre types : les libéralisations d’opérations bancaires, les ouvertures du marché boursier, l’ouverture du compte de capital, les libéralisation du marché des changes. Ces politiques décrites dans le bouquin d’ATTAC doivent être remises en cause si un changement minimal est envisagé.

CD


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