Ouallonsnous ? (xxx.xxx.xxx.217) 19 janvier 01:46 Si, il faut bien remplacer la « déclaration des droits de l’homme » par la « DECLARATION UNIVERSELLE DES DEVOIRS HUMAINS » !La « déclaration des droits de l’homme » est la plus grande supercherie humaine, la plus grande arnaque politique, la plus grande hypocrisie de l’Univers et l’incommensurable aberration idéologique pour ne pas dire la plus monstrueuse contradiction scientifique de tous les temps : Nous somme en pleine Ere de la GENETIQUE, je vous le rappelle !
Quand la politique de mendicité « des droits de l’homme » met les individus à genoux devant les misérables dictateurs, ce qui est le contraire de l’esprit démocratique, la « DECLARATION UNIVERSELLE DES DEVOIRS HUMAINS » contraint les responsables politiques à tous les niveaux et dans tous les pays à faire leur devoirs de manière équitable en les mettant sous la Législation et le balisage des lois sociales ainsi que des preceptes élémentaires de la morale humaine !
Comparez les deux premiers articles des deux « déclarations » et choisissez le meilleur à même de pouvoir assurer la DEMOCRATIE et la justice sociale, si cela est votre revendication ! Quant au reste des 29 articles, je ne désespère pas de voir AgoraVox publier mon article intitulé : « DECLARATION UNIVERSELLE DES DEVOIRS HUMAINS » pour rendre service à l’Humanité entière !
Les droits de l’homme stipulent :Article premier
« Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. »
La DECLARATION UNIVERSELLE DES DEVOIRS HUMAINS corrige :
Article premier : Comme les humains ne naissent jamais réellement libres et égaux ni en dignité ni en droits ceci à cause du patrimoine génétique de chacun et des origines diverses et que l’inégalité sociale refuse encore l’égalité devant les lois …Les responsables de tous les pays doivent garantir tous les droits des citoyens qui auront accompli tous leurs devoirs envers la société.
Mohammed MADJOUR.