Je me ravise car je précise quand même que vous avez quelques difficultés à distinguer les faits de l’interprétation qui en est faite.
1) Le fait que les engagements ne soient pas écrits rend libre la personne de s’en aller si elle ne souhaite plus les respecter. Ce n’est quand même pas bien compliqué à comprendre. Quelqu’un fait partie de l’Opus Dei s’il en a envie. S’il n’a plus envie, il part. Basta.
2) A part quelques exceptions, tous les membres de l’Opus Dei ont une activité professionnelle. Alors, l’idée que personne ne travaille, et que les membres sont exploités pour faire des basses besognes de l’Opus Dei, est une idée parfaitement étrangère à cette institution. Si besoin est, le droit du travail y est respecté : je vous rassure. Même si c’est très éloigné de la réalité de l’Opus Dei, où je le répète tout le monde ou presque a une activité professionnelle, demandez-vous un instant si les religieux ont un contrat de travail avec leur communauté pour récolter le raisin de leurs vignes. Je vous laisse trouver la réponse.
Pour le reste, c’est du même calibre. Et je n’ai vraiment pas envie d’essayer de vous convaincre.
Vous interprétez comme vous l’entendez les racontars qui sont arrivés jusqu’à vos oreilles, qui sont eux-mêmes le résultat d’une interprétation, sans avoir une seule seconde l’idée d’aller vérifier par vous mêmes, ou en croisant vos sources. Je le répète une dernière fois : ce serait cela l’honnêteté intellectuelle qui semble tant vous manquer.
Quand à m’accuser de défendre une institution totalitaire, que voulez-vous que je vous dise ? C’est vous qui avez décidé qu’elle l’était. C’est votre problème et je ne peux vraiment plus rien faire pour vous. Je vous laisse le dernier mot, c’est promis. Mais si des lecteurs passent par là, ils feront la part des choses. Le fanatique, c’est vous, et vos réactions le montrent bien.