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Commentaire de Paul Villach

sur Un art officiel indigent et sans vergogne : Boltanski au Grand Palais à Paris


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Paul Villach Paul Villach 23 janvier 2010 10:32

@ Fergus

On est en présence d’un cas pathologique intéressant : les dévots de l’art officiel. L’argument d’autorité est leur boussole : ils sont capables sur ordre de voir quelque chose là où il n’y a rien et rien là où il y a quelque chose.
Voyez la confusion que font ces dévots : certains osent rapprocher une toile de Goya de ce machin insensé de Boltanski.
Comment est-il possible que des esprits sombrent dans la déraison à ce point ?
À ce degré de confusion intellectuelle, aucun dialogue n’est plus possible.

Je garde le souvenir plein d’effroi d’être passé sur le Canal Grande devant le palazzo Grassi de la fondation Pinault qui exhibait sur un ponton, dans cet écrin prodigieux qu’est Venise, une tête de mort gigantesque fabriqué d’un agrégat invraisemblable de ferblanterie. Cette injure à ciel ouvert lancée à la beauté de Venise ne cesse pas de retentir dans ma mémoire ! Les barbares sont dans la cité ! Paul Villach


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