C’est pas seulement ses propos qui sont condamnables, c’est aussi ses méthodes. quand à savoir si Fréche est a gauche ou à droite, il y’a longtemps que ses électeurs ou ses clients se fichent de ses orientations politiques, ce qui lui permet de faire sa cuisine qui ne doit rien ni à la droite ni à la gauche et surtout ni à paris
. C’est une cuisine régionale assez spéciale, en fait. , Cette région a acceuilli l’essentiels des pieds noir qui ont éte viré d’algérie. Cette région leur doit beaucoup pour son dévelloppement et son dynamisme et la brillante carriére de Fréche aussi
Maoiste et militant dans une organisation marxiste-léniste alors qu’il était étudiant à la fac de droit, le baron de Séptimanie est l’un des premier à s’opposer au tout début des annes 60 à la guerre d’algérie. En 72 il se rapproche pourtant des nostalgique de l’Algérie française et c’est grace aux vote des pieds noir qu’il devient maire de montpellier, c’est a leur soutien indéfectible qu’il leur doit toutes ses victoires politique successives. Plus que le candidat de la gauche, c’est, en réaliste conscient des enjeux locaux, le candidat des nostalgiques de l’Algérie française. Et il ne fait jamais les choses a moitié, putain d’ma mére ! Ainsi en 1982, il met en berne tous les drapeaux de la ville quand claude Cheysson, ministre des Relations extérieures de françois Mitterrand vient s’incliner à Alger devant la tombe des combattants du FNL,. Ce qui ne l’empéche nullement de vouloir ériger en 2008 sur la place de « la comédie », ça s’invente pas, un statut deLlénine, et pourquoi pas de Mao et pendant qu’on y est a coté de celle du général de gaulle...les trois mousquetaires...
Bon ! maintenant a partir de ces quelques élément on peu comprendre le pourquoi de ses dérapages bonassses.
A mon humble avis le probléme de son racisme et du racisme en général ne peut reposer entiérement sur les épaules d’un Ubu local ici ou ailleurs.
Le probléme est tout entier dans son électorat qui le soutien. Il serait temps que cet électorat évolue un peu, par ces temps de débat sur l’idendité qui n’en fini plus et préfferre radoter ; Il serait temps que cet électorat français prenne enfin conscience que les mots qui ont été dit et qui sont cette fois on l’éspére de trop pour qu’on les accepte au moins à gauche ne sont pas que des mots.