Deuxième épisode des aventures de Eric l’intrépide journaliste indépendant.
Voici que Môsieur pense à présent que sous prétexte de ne pas s’être rendu sur les ruines fumantes des WTC pour effectuer une enquête de terrain (on lui rappelerait volontiers : à quoi bon vu que toutes les pièces à conviction a été confisquées ou détruites dans les heures et jours qui ont suivi les attentats...), il serait impossible aux curieux de procéder à certaines vérifications basiques.
What’s middle thing ? Libérez moi de cette pesante incompréhension. Je brûle de saisir l’insoutenable finesse de votre raisonnement. Expliquez-nous donc pourquoi, si l’on se fie à des images et témoignages dont l’on peut vablement vérifier l’authenticité des sources, il ne serait pas possible de réfuter ou mettre en doute certains faits que l’on nous présente à tort comme certain et indiscutable ?
Au vu de votre aplomb à parler de ce dont vous êtes parfaitement ignorant (Votre connaissance est à l’évidence bien supérieure aux nombreuses personnes qui ont attiré l’attention sur l’existence de possibles et probables transactions suspectes précédant les attentats), je ne tiens plus à l’idée de découvrir l’une ou l’autre de vos nouvelles perles.
Oh pardon, Seigneur, j’ai péché. J’avais juré de ne plus répondre au vent des paroles de l’illustre Nicolier ; celui qui, compte tenu des grandes oeillères qui lui servent de noreilles, pourrait bien devenir le dernier refugié des petits mensonges et ommssions à la sauce 9/11.
Bonne nuit, Msieur Nicolier. Elle promet d’être longue...