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Commentaire de Michel Frontère

sur Quand Gainsbourg était accro au jazz


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Michel Frontère Michel Frontère 3 février 2010 21:19

Après l’échec commercial de Gainsbourg percussions sa déception a été immense, et là il s’est dit qu’il devait s’adapter à la mode, étant assez sûr de lui pour savoir qu’il ne s’y noyerait pas, alors comme un grand couturier il a fait du sur-mesure à la demande.

@Stephanemot : assez d’accord avec vous.


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