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Commentaire de samosatensis

sur L'Atlantide engloutie, suite et fin


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samosatensis 4 février 2010 15:03

@Mourey


Chacune de vos réponses vous enfonce :

« Vous avez donné vos arguments qui vous autorisent à placer Bibracte au mont Beuvray. Ils sont très faibles. J’ai expliqué pourquoi il fallait les interpréter autrement. » 

Décrétez que mes arguments sont faible ce n’est pas y répondre : vous n’avez pas répondu sur les monnaies, sur les amphores, sur le cout des murailles, sur la superficie, sur la basilique… certes avec cette capacité d’argumentation vous devez en convaincre du monde. Et par contre « vous avez expliqué pourquoi » vous n’avez rien expliqué du tout, vous avez déliré sur les églises, les atlantes, sur les fouilles du XIXème et sur un prieuré clunisien du Xeme siècle. Sans aucun fait…

« L’identification de ce champ de bataille a toujours été considérée comme le critère à partir duquel la localisation de Bibracte pouvait être prouvée. Vous avez balayé cet argument d’un revers d’un main. C’est un peu facile. »

Ben non ce n’est pas facile, c’est du bon sens. Il n’y a que dans votre tête que le lieu de la bataille est « Le » critère. Qu’est-ce qui est le plus facile à identifier archéologiquement : un centre urbain considérable ou un lieu de combat éphémère. Donc d’où doit-on partir à votre avis pour savoir où est quoi ? C’est vous qui inversez sans arrêt la logique, votre reconstitution de la bataille ne repose sur rien d’autre que des postulats dont le premier est de placer la capitale d’un peuple d’époque laténienne dans un prieuré clunisien postérieur de 12 siècle. Bravo…

Vous brouillez le débat. Vous nous envoyez de multiples liens et vous ne vous rendez même pas compte qu’ils contiennent des éléments qui vont à l’encontre de certaines de vos thèses beuvraysiennes.

… tiens donc ?

« Mais, Monsieur, le contour des oppidum de Manching et de Reims sont de la même famille que ceux de Mont-Saint-Vincent et du Crest... mais aussi de celui de Tell Balata, en Samarie. Ce contour d’oppidum ovale, où se trouve -t-il au mont Beuvray. Oui, il s’y trouvait. L’avocat Garenne, que vous méprisez, l’avait repéré avant que vous en supprimiez la trace. »

Je vous attendez exactement sur ce point, vous êtes tellement prévisible. Relisez l’article vous verrez que ce contour n’apparaît que là où le terrain le permet, en terrain plat surtout. Le contour rond d’une ville on le retrouve en samarie, on le retrouve à Hatra, on le retrouve en Afrique, en europe du nord : il n’a pas de signification en lui-même c’est juste que c’est une figure géométrique de base qui correspond à une facilité d’organisation de l’espace. Faites un peu de géométrie : si des aménagements spatiaux partagent des points communs ce n’est pas forcément qu’ils sont les héritiers l’un de l’autre, mais que les mêmes solutions simples sont retrouvés partout. Si la forme des villes étaient très particulière et spécifique on pourrait suivre votre raisonnement, mais une forme ronde !! Même les villages masaï l’adoptent spontanément. Ce point est le parfait révélateur de votre délire d’interprétation.

Quand à la forme que Garenne a cru voir, j’aimerai bien que vous me prouviez à partir des faits (plan de fouille, stratigraphie) :

1) qu’elle a existé

2) qu’elle a été effacé (et comment donc) ?

Là encore apportez des faits au lieu de délirer…


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