Réponse au point 1 : l’enseignement de l’anglais ( pour mes enfants , c’était de l’allemand ) , se fait au détriment de l’enseignement du français , d’autant qu’il y a bien plus de vacances scolaires que dans les années soixante ( quand j’étais à l’école primaire, dans les années 60 , le jeudi était un jour sans école , par contre on allait à l’école le samedi après midi. il n’y avait que 2 jours de vacances à la Toussaint et en février ).
L’enseignement d’une langue ne se fait pas au détriment de quoi que ce soit.
C’est au moment où le cerveau est en ofrmation qu’il faut l’aider à s’impregner d’une nouvelle langue. as au collège, c’est déjà trop tard. Et maintenant dans la vie si vous ne parlez pas anglais vous ne pouvez pas prétendre travailler.
Concernant les vacances, je suis d’accord il y en a trop actuellement , du moins pas assez bien réparti et le rythmee scolaire ne devrait pas être ce qu’il est . Il est abominable et non adapté mais là c’est une autre question. Il me semblait qu’à votre époque , celle de mes parents donc, les enfants bénéficiaent de très longues vacances d’été pour permettre d’aider aux champs, aux foins, aux ramasages de toute sorte et aux vndanges. Il me semble que cela durait ..jusq’uen octobre.... Là nous avons une autre répartition du temps c’est tout. Mais par contre, je suis d’accord avec vous le rythme actuel est totalement inadapté. Il est adapté au rythme de vie des parents : les enfants sont à la garderie le matin à 7H 7H30 et ne repartent de l’école qu’à 18 heures. Je suis certaine que si la garderie était ouverte jusqu’à 19 h ou 20h il y aurait des enfants. Quant aux fait de ne plus travailler le samedi c’est pour arranger les parents divorcés ou ceux qui partent en week end..
voilà pour le premier point.
2. Par conséquent , la maîtrise du français qui était exigée à l’époque pour passer en sixième était l’équivalent de ce qui est maintenant exigé des élèves de troisième.
C’’est peut être pour permettre au plus grand nombre d’arriver à poursuivre leurs études que l’on est devenu moins exigeants sur certaines bases concernant le français. Ceci dit , je peux vous assurer que ma fille apprend encore par coeur les bases de grammaire et mes fils ont tous les deux d’excellentes bases dans leur langue maternelle.
Ils ont pourtant tout deux fait des langues en primaire. Ma fille compte en anglais mais aussi en français et elle est à l’aise avec les deux langues. Chance que je n’ai pas pu avoir car malheureusement je n’ai eu l’anglais puis l’espagnol qu’en sixième puis en quatrième .
Mes fils sont tous deux bien meilleurs que moi en langue.
Ils sont aussi excellents en français, mais ils lisent aussi énormément. Nous avons une belle bibliothèque à la maison et ils en profitent heureusement pour eux. Nous les avons habitués ainsi. C’est plus une question d’éducation que d’apprentissage scolaire.
Par ailleurs , seul deux ou trois pour cent des français auront à utiliser une langue étrangère pendant leur vie professionnelle. Inutile d’en faire des tonnes concernant l’enseignement de l’anglais .
multipliez votre chiffre par 20 . S’ils vont travailler en chine, à moins de parler le chinois ou le mandarin, s’ils ne parlent pas anglais ils ne s’en sortiront pas . S’ils vont travailler en roumanie, idem, s’ils vont travailler en inde, au japon ou dans n’importe quel autre pays , ils devront parler l’anglais. L’anglais est une langue d’avenir. Si à votre époque effectivement très peu de monde pouvait se permettre de ne pas le parler, le monde du travail actuel réclame .
Réponse au point 2 : le maniement des tableurs , logiciels photos etc... n’est indispensable que dans une très faible quantité de métiers . Moi, en tant que médecin ,ça m’est totalement inutile. J’ai eu une seule fois à me servir d’un tableur en tant que rédacteur d’agoravox . j’ai cru que j’allais devenir enragé , mais , à force d’essai et d’erreurs , j’ai fini par réussir le tableau . Donc , apprentissage inutile et coûteux en matériel à l’école , une initiation de quelques heures en fin de troisième suffit largement
pour vous qui avez un logiciel spécifique , cela ne vous est pas utile car les secrétaires tapent les courriers à votre place. Pour nous en tant qu’infirmière , nous devons absolument maitriser l’outil informatique ; Je vous parlais de ces logiciels mais également des logiciels spécifiques, et si on n’a jamais manié une souris de sa vie on se retrouve tout de même bien en peine sur le marché du travail. N’importe quel commerçant en aura besoin, gestion des stocks, des commandes, des clients.... et dans tous les métiers à part peut être celui de balayeur on a besoin de l’outil informatique. Le mettre en place dés l’école , permet aux enfants de le maitriser rapidement, sans galérer lorsque l’on veut insérer un tableur dans un texte...
Réponse au point 3 : Bien que mes enfants soient l’école publique ,respectivement en 5ème et 3ème , ils n’ont jamais eu de « cours d’éducation à la sexualité » . Je ne pense donc pas que ce soit au programme, c’est peut-être au programme au lycée, ce qui sera plus de leur âge.
Si c’est au programme et ils doivent avoir de l’éducation à la sexualité dés la sixième. En général les infirmières travaillent avec les conseillères du centre de planification ou du planning famillial .
Voici le lien vers le programme au collège et au lycée.
Réponse au point 4 : Lorsque j’étais à l’école primaire , le barème en orthographe était implacable : cinq fautes = zéro . Par ailleurs , dans les autres matières , l’orthographe fautive pouvait enlever la moitié de la note. Inutile de dire que les compétences en français se sont lourdement détériorées.
Et franchement, cela apporte quoi de plus ??? d’avoir zéro faute en orthographe ous permet de manger ? Pas moi.
Réponse au point 5 : deux hommes ou deux femmes qui se promènent la main dans la main, ça ne se voit qu’à Paris, et encore , seulement dans le quartier du Marais ou dans les environ. Vous ne verrez cela dans aucune ville de province , sortez un peu de votre cocon parisien, de temps en temps !
Euh, non, je vis dans un village de 470 habitants d’après le maire , loin de paris et du marais mais je vois des jeunes qui se tiennent la main, qui affichent leur préférence et ici cela ne choque pas . Et je vis à proximité de petites villes...