En relisant cet article et les commentaires houleux j’ai été frappé par quelques petits détails.
Aujourd’hui la vaccinologie est considérée par les pro-vaccins comme une science définitive qu’il n’est pas convenable de remettre en question. Je pensais que la médecine d’une manière générale était encore une science en devenir. Si ce n’était pas le cas, pourquoi cette tartufferie nommée effet placebo, il serait plus honnête de dire que dans 50% des cas l’explication médicale ne nous est d’aucune utilité. Il n’y a aucune honte à dire « je ne sait pas ». Sauf, bien sur, au cas ou cela entacherait quelque peu la réputation des ayatollah de la blouse blanche, puisque c’est ainsi que les choses fonctionnent, la réputation avant toute chose et des publications accessibles sur pubmed.
On attend toujours avec impatience nos médecins si sur d’eux pour éradiquer le cancer et les maladies dégénératives, pour ne citer que ces deux là. Un peu d’humilité ne saurait faire de mal...
Certains arguments mettaient en avant le fait que des personnes décédées suite à l’injection étaient atteintes de pathologies diverses, cardio-vasculaires entre autres, et ne pouvaient être comptabilisées comme ayant été réellement victimes de la vaccination. Soit, en prenant le problème dans l’autre sens, cela reviendrait-il à dire que pour bénéficier de la vaccination il fallait être robuste, sain de corps et n’avoir aucune affection ou déficience immunitaire. Dans ce cas de figure la vaccination ne peut se faire qu’au cas par cas et sa généralisation est contraire au principe de précaution. C’est une évidence puisque dans la réalité, l’état de santé des individus ne colle pas à une définition théorique manichéenne, en bonne santé ou en mauvaise santé.
Le jour on l’on paiera les médecins pour nous aider à nous maintenir en bonne santé, la confiance naturelle des gens leur reviendra comme par enchantement.