Si la nouvelle dictature du dogme des quotas est tant appréciée par
les officines anti-racistes et anti-discrimination, c’est parce qu’ils
en sont les fonctionnaires.
Après les plans quinquénaux nos soviétoïdes égalitaristes ont trouvé
une manne bien plus juteuse : l’équarrissage au quota.
La nature a doté les ethnies de spécificités diverses et les sexes de
possibilités diverses, mais les bulldozers du nivellement en ont décidé
autrement.
Ainsi même si les statistiques démontrent formellement que les hommes
sont plus matheux et les femmes plus linguistes, si la liberté conduit
en majorité les mâles vers les disciplines techniques et les femelles
vers les disciplines sociales, il convient de libérer les citoyens
prisonniers d’une liberté qui conduit vers une sexo-discrimination
intolérable.
Il faut donc établir des quotas où chacun des métiers doit présenter
les mêmes proportions que la population globale. Il faut dire que sans
ces quotas présentent un avantage substantiel : sans eux beaucoup
d’humanistes éclairés se retrouveraient au chômage.
Un peu comme pôle emploi qui faute de pouvoir créer des emploi pour
les chômeurs, permet à des fonctionnaires de vivre grassement du chômage
des autres, les quotas faute de changer les données génétiques,
permettent à des égalitaristes d’être génétiquement qualifié pour
décider à la place des décideurs.
Egalitariste c’est le métier d’avenir, car l’égalitarisme est une
manne inépuisable, songez aux efforts tant logistiques que financiers
qu’il faudra faire avant que le mâle soit enceinte et utilise le
stérilet et que la femelle soit barbue et utilise la capote.