Je cite :
« Une note moins légère toutefois. J’ai été surpris d’entendre une question sur le 11 septembre de la part d’un spectateur (...) On pouvait penser que les multiples mises au point, à la suite de la publication, et surtout de la médiatisation, diablement bien orchestrée à l’époque, du livre de Thierry Meyssan, L’effroyable imposture, avaient fait un sort à ce magma de bêtises (comment appeler autrement les idées exprimées dans ce livre). Eh bien non, plusieurs années après, le doute demeure dans quelques esprits. »
Quelques esprits est un euphémisme. Et une recherche un tant soi peu sérieuse aurait permis à un journaliste digne de ce nom de creuser un peu plus profond que le niveau primaire de son opinion personnelle.
De plus le remarque suivante sur les commentaires, de notre "journaliste s’apparente plus à un règlement de compte et à de la méchanceté gratuite qu’à une volonté de dialogue, c’est le moins qu’on puisse dire :
"2) Tu as oublié de signaler que tes deux questions à cette soirée, aussi confuses d’ailleurs que tes propos ici, ont été accueillies par les rires d’une bonne partie de la salle...
Bref évite de donner des leçons car très franchement au cours de cette soirée je n’ai pas été franchement ébloui par tes capacités intellectuelles mais plutôt ton incapacité à formuler une question claire qu’il a d’ailleurs fallu te faire reformuler pour que chacun la comprenne..."
Quand ils ne peuvent répondre sur le fond, les médiocres attaquent toujours leurs contradicteurs personnellement.
Ce genre de pratique est un signe sûr du manque d’assurance de leur auteur sur le fond même des problèmes qu’ils prétendent connaître.