Logan,
Votre commentaire est très pertinent, même s’il est construit sur des SI successifs qui finissent par lui ôter tout lien avec la réalité.
Evidemment, les problèmes se poseraient très différemment si l’euro n’était effectivement pas une monnaie faite pour favoriser la spéculation contre elle, ce que l’article explique.
Evidemment, si l’économie de marché, avec sa sphère financière déconnectée des réalités, l crise actuelle n’existerait pas.
Tous ces SI sont virtuels et la réalité,elle, est celle que nous vivons et dont il est sans objet de vouloir s’extraire avec des SI....
Prenons votre texte à l’endroit, en partant non de chimères basées sur des SI, mais des faits :
- la crise n’a pas pour origine les agences de notation, sa racine- pour faire court- étant dans la sphère financière et les dettes publique accumulées (souvent, et pas seulement en Grèce, avec des comptabilités fausses et/ou falsifiées.
- Les grands créanciers de la dette publique grecque, pour ne prendre que celle qui vous occupe- sont les banques privées françaises ( qui donc tendent à spéculer en vue de leurs propres profits).
- l’euro étant ce qu’il est -vous l’admettez avec clarté- la zone euro va droit dans le mur.
Les SI ne sont ci qu’inutiles spéculations sans intérêt, ce qui compte est d’agir sur la réalité ou, pour d’autres, de ne pas agir pour ne pas la changer.
Bien cordialement,