Olivier,
« tu évoques »travailler pour le plaisir« ,... finalité incontournable de tous ceux qui, salariés ou pas, vivent sur cette planète, et excuses moi d’être un peu, pour le coup, caricatural. »
Finalité, exact. On peut travailler pour le plaisir, même si cela devient beaucoup plus rare aujourd’hui, vu les barreaux que l’on ajoute pour casser l’ambiance.
J’ai écrit :
" les années 2000 étaient devenues anxiogènes.... La
communication a été améliorée. Nul ne le conteste. Au lieu d’avoir une
communication exclusive en verticale, de haut en bas, elle a embrayé de
manière plus efficace grâce aux moyens électroniques dans une
expérience plus terre à terre, plus naturelle pour tout le monde, à
l’horizontale. En effet, rien n’empêcherait le courriel d’être envoyé
de l’employé vers la direction, sans passer par les échelons
intermédiaires. Sera-t-il lu ? Répondu ? Tenu compte ? Ou sommes-nous
tombés aux abonnés absents ou pire chez les administrateurs de futurs
peu enviables et qui ne sont là que pour répondre aux affaires
courantes ? Apprendre
à connaître son personnel n’est plus considéré comme essentiel. Ce
n’est plus une équipe hiérarchique au pouvoir, mais une série de bouts
de membres qui sont gérés par des fils électroniques comme si Facebook
pouvait servir pour définir une stratégie, qui se veut de plus en plus
opaque en se diluant de plus en plus en bout dans le bas de la chaîne
du management."
Tu vois que la question, je l’ai étudié.
Désolé d’être sorti du cadre de ton article, mais tu parlais du travail en général.