M.
Mourey,
Bien qu’ayant
promis de ne plus vous importuner et de vous laisser à vos fantaisies autant
linguistiques qu’historiques, je vous réponds à nouveau.
Bon sur
votre problème de navigateur, rassurez-vous j’ai le même, donc nous sommes en
situation d’égalité sur ce point-là.
Je reprends
votre réponse : « Je pense
que le fond de notre différend trouve son origine dans l’hypothèse
indo-européenne qu’en tant que linguiste vous pensez probablement fondée alors
qu’en ce qui me concerne, dans mes hypothèses plutôt militaires, j’essaie
de raisonner dans un monde connu par les textes, socialement et militairement
organisé d’où j’exclus toute influence extérieure hypothétique. »
A nouveau,
je n’entends rien à ce que vous écrivez, çà part dans tous les sens et la
seule chose que je retiens est que votre méthode
ou raisonnement est fondé sur le
principe certainement objectif, rigoureux
et scientifique du selon
moi se manifestant assez souvent dans votre discours au travers des formules
suivantes : moi, je lis ; moi,
je vois ; moi, je crois ; moi,
je pense. Et qui bien entendu a empêché toute discussion sérieuse sur cette
hypothèse (votre hypothèse) que vous nous invitiez à discuter en introduction
de votre article. Vous n’avez tenu compte d’aucun de mes commentaires ou arguments,
auquel vous répondez toujours soit par digression ou par une autre de vos fantaisistes
et délirantes acrobaties rhétoriques, historiques ou linguistiques. Bref.
Là est
notre différend et non mes quelques rappels (somme toute sommaire) en linguistique.
Je ne me suis pas référé uniquement à la linguistique, mes commentaires se sont
fondés sur les connaissances historiques et repères archéologiques, et je me
suis autorisé à vous renvoyer aux textes bibliques.
En matière
de linguistique, je vous rappelle
tout de même que votre thèse-article repose avant tout sur les vagues
ressemblances sonores que vous établissez vous-même entre différents mots ou
noms. Je vous ai juste donc rappeler que la linguistique se fonde sur des
éléments un peu plus consistants.
Mais revenons-y
à nouveau avec la suite de votre réponse :
« Si vous relisez bien mon article,
vous constaterez que je n’ai fait que poser la question des langues écrites ou
parlées que l’on pratiquait sur les rivages du pays de Cannaan et dans
l’arrière pays. Qu’on n’y ait parlé que des langues sémitiques, comme vous
l’affirmez, est une possibilité que je ne récuse pas, mais ce n’est pas
vraiment le sujet de mon article. »
Rassurez-vous,
j’ai lu et relu votre article bien des fois. En effet puisqu’à chacun de mes
commentaires, je n’obtenais nulle réponse cohérente, j’ai procédé à une
sérieuse remise en question de mes capacités de raisonnement ou de
compréhension. Et à nouveau, votre article ne me fournit aucun argument sérieux
ou concret.
Mais j’avoue
que le passage, ci-dessus en italique, est une perle : donc si j’entends
bien vous admettez la possibilité qu’au sein de l’espace proche-oriental
sémitique, les habitants sémites de ces lieux aient pu parler une ou plusieurs
langues sémitiques. Je sais, je suis un farceur. Non mais sérieusement : comment
voulez-vous que je prenne de ce type de réflexion
après notre déjà long échange ?
Et vous
avez raison cela nous éloigne de votre article, où à l’évidence vous ne posez
pas de question, ou si questions il y a, elles ne sont résolument pas adressées
à vos lecteurs et possibles contradicteurs.