Bahhh…
mon moussé groncheux, Son Ôguste Insanité
voit que tôaaa-zôssi est un zexperteux ès nanalyse zozostorique ! Zavoue
ke l’aspect archéogastrozomique m’avait zéchappé !
Zé donc Môaaa-je s’incline en
toute humilitude zé modesterie : zincèrales respectuations Mon capîteux !
Zé donc pris note des zéléments ôtan
gastrochéolozik ke zozographique, et v’là ma zazalyse zozolonguistique :
Très cher capiteux maritime, v’là
CONment je vôaa l’affaire :
Dans côtes de Beaune, Môaa-je
vois clairement : Ba’u’An soit la
théofusion de Ba’u et An : tout deux zissus du panthéon zumérien : Ba’u
zétan la divinitude agricole (dont la représentation en charrue évoque
naturellement le terroir bourguignon) et An le dieu du ciel..
quant zô e’
de la fin derrière le mô, Môaaa-je pônse zé zimagine que l’usage zextrême intensatoire de kôt de Ba’u’An favorise la dikléklie de la
zone languaire..et donc l’addizion de ze zen fin zoirée...ou plutô za dépend du persobolizme...bahhh…
Pareil dans Senonais, Môaaa-je
vois la contraction théofuseuse de Sin-An-Ea, nezepadonk ? donc la Moon, le
Zky et la Sachiesse : zoit du triolizme cosmothéozobique évoluzionnaire.
Zétipa ?
Zur ces zéléments zà décharge probateuse,
ze partage maintenant votre point de vizion. Ze vous remerzie de zailleurs de m’avoir
ampoulé zôtan !
Par Con-treûhhh pour les zôtres,
ben ze travaille dessus avec sériosité érudante zintextensive !
koike zelà ne soit qu’une zypotheûse,
Môaaa-je crois bien voir dans Charolles la forme Shâr-Eole, ze ki suposerai donk
zà la fois une zinfluence féérunienne zé héllénocrêteuse… ke zen penzez-vous ?
Môaaa-je vous remerzie
sincèralement de votre ampoulage zecoursif…
Bahhhhhhhhh…
Ze VOIS TOUZZZ !!!