Je ne connais pas grand-chose au monde éducatif, mais lançons-nous pour une fois :
L’autorité primitive est basé sur la peur et effectivement, l’exacerbation de la concurrence sous enfumage libéral retombe bel et bien sur le système éducatif.
La peur :
C’est effectivement la façon la plus facile d’asseoir son autorité. Non seulement dans la relation prof-élève, chacune des parties n’étant pas uniquement victime, mais employant ceci afin de tenter de mener la classe comme il l’entend.
La valorisation des capacités de l’élève, l’analyse des ses forces et faiblesses est sans doute la première étape afin d’éviter de presser l’élève de discours alarmistes, qui peuvent fonctionner un moment, mais qui peuvent aussi dégouter, décourager, voire sembler une ficelle trop usitée pour être crédible ou qui lasse comme l’a relevée l’auteur.
La concurrence :
Je pense qu’il s’agit de compétition entre élèves. On n’en fera pas l’impasse.
Mais des notes collégiales de classes pour certaines activités pourraient permettre de faire prendre conscience aux élèves l’intérêt de ne pas uniquement se la jouer individualiste, mais également de lui ouvrir les yeux sur l’intérêt du travail d’équipe, collectif.
Sinon, l’article est sympa, il aurait mérité d’être un peu plus structuré