- les banques font partie de l’economie, comme les autres activités.
Non.
Les banques créent de l’argent virtuel ; elles dominent l’économie mondiale par ce pouvoir, influent sur tous les secteurs, et, par la spéculation, créent les « bulles financières », qui n’ont strictement rien à voir avec l’économie réelle, et conduisent, comme on le constate, par leurs jeux de casinos pourris, à la crise dont est victime l’économie mondiale, les états et les citoyens du monde entier.
Rien à voir avec les autres activités de l’économie qui, elles, produisent des objets, des services, créent des richesses, dont les banques s’emparent ; soit pour les déprécier, soit pour se faire du fric avec.
Les banques, et les « marchés financiers » sont les mafieux du système mafieux capitaliste, et se servent de l’économie pour alimenter leurs bénéfices, dans le système désormais institué de la privatisation des bénéfices et de la socialisation des pertes, quand leurs jeux de spéculation tournent mal.
Personne d’autre n’est responsable ni de la crise (des crises) qui touchent les états, les citoyens, personne d’autre n’a ce pouvoir de création d’argent et d’usure ; les banques sont les SEULES responsables des dérives sanglantes, des dégâts catastrophiques, qui conduisent les 2/3 de l’humanité dans la précarité, la misère, la famine, les conflits, les guerres.
Les banques sont le fléau du capitalisme, et vous aurez beau sortir toutes les arguties et chiffres bidons et truqués que vous voudrez, vous ne changerez rien à cette réalité.
La SEULE solution est de leur retirer, définitivement le pouvoir de création monétaire, d’interdire à la spéculation tous les biens nécessaires à la vie, et de taxer lourdement les produits de la spéculation dans tous les autres domaines.
Hors ça, ces mafias vont continuer de dépecer la planète, comme elles le font, avec plus de violence et de cynisme que jamais.
Minimiser, comme vous le faites, leur formidable pouvoir de nuisance, et prétendre qu’elles « font partie de l’économie, comme les autres activités » , fait de vous un menteur, et un complice de ces mafias.
Soit vous y trouvez votre compte, et vous êtes un salaud cynique, soit vous les défendez par pure idéologie, et vous êtes un sale con ; point barre.