@ Emile
Je reconnais que mon expression au sujet du vin a l’apparence de la subjectivité, n’étant pas sourcée. Mais je ne désire pas entrer dans la polémique sur la dangerosité de cette boisson (établie par d’innombrables études, rapports, lois, etc.), c’est pourquoi je n’ai pas pris la peine d’indiquer mes sources. Celles-ci sont d’ailleurs facilement accessibles (voir entre des centaines d’autres ici, ici et là).
Mais je ne cherche à convaincre personne. Chacun est libre, y compris d’ignorer. En d’autres lieux, je parle du « désir d’inconnaissance ».
Sur ce point, donc, j’assume pleinement cet aspect apparemment subjectif et ce, d’autant plus que ce n’est pas le sujet de mon article. Même si, à la limite, le vin n’était pas si nocif ou dangereux que ça, l’information à son sujet mériterait mieux qu’une promotion permanente de la part des journalistes.
Ce point (la promotion déguisée en info) me semble très grave. Il n’a pas l’air pourtant de vous soucier. Portant, si les journalistes peuvent à ce point fermer les yeux sur cette question parce qu’ils aiment le vin, que penser de ce qu’ils peuvent dire dans d’autres domaines, notamment celui de la santé ?
On l’a vu avec les vaccins. Quand j’ai fait la première enquête participative sur ce sujet, je me suis fait incendier par beaucoup avec les mêmes arguments que vous sortez ici contre moi. Deux ans après, la plupart des infos et des arguments que j’avais publiés dans cette enquête, méprisés à l’époque, ont fait la une des journaux pendant des semaines…
Et je vous rassure sur mon compte, le plaisir est une valeur importante dans ma vie, mais j’évite de le prendre là où il peut me conduire plus tard à le regretter amèrement… Et il y a bien d’autres sources de plaisir et de joie qui sont plus sûres, plus épanouissantes et non addictives...