« Ce qui m’étonne au plus haut point de ce pouvoir sarkozyaque c’est la facilité de défendre l’indéfendable et d’user d’amalgame, d’argument fallacieux et faux, aussi courts et définitifs que possibles. Ce qui m’étonne de ce pouvoir c’est cette accumulation de dérapages qui ne cessent de succéder les uns aux autres et dont on ignore lequel est le pire ou s’ils sont tous au-delà de l’acceptable. Ce qui ne cesse de m’étonner de ce pouvoir c’est la désinvolture et l’arrogance qu’il a de l’exercer. Ce qui m’horrifie de ce pouvoir c’est qu’il l’utilise à des fins personnels, communautaires et électoralistes. Ce qui me navre c’est qu’il soit encore au pouvoir. »
Vous avez totalement raison, mais comme beaucoup d’anti-sarkosystes aujourd’hui, vous ne semblez attribuer la déliquescence de notre pays uniquement au pouvoir en place...
Si seulement il n’y avait que lui, si seulement il n’y avait qu’eux...
Votre analyse est certes intéressante, mais en trompe l’oeil, car malheureusement nombre de tares qui y sont décrites sont si largement partage par notre classe politique et mediatique aujourd’hui ou alors sont substituées par d’autres.