Commentaire de sisyphe
sur De la nécessité quelquefois impérieuse du coup de poing dans la gueule
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Par Georges Yang (xxx.xxx.xxx.179) 17 février 18:13
Autant je comprends les reserves de Fergus, autant je meprise les pets de lapin de Sisyphe
Ah oui, tiens, j’avais oublié cet élément essentiel de la panoplie de la vulgarité grasse et grossière caractéristique de l’auteur ; le pet !
Heureusement, Yang est là, à qui ça ne pouvait pas ... échapper ! 
Décidément, il ne refoule pas que du goulot, Yang ; ça schlingue de tous les côtés...
Plus que jamais, soutien aux proches..
Derniers commentaires
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22/02 09:58 - Voris
Georges Yang, vous êtes excessif comme gars. Si j’approuve parfaitement votre réaction (...)
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21/02 23:15 - Rough
Bravo Georges, Superbe article !....Comme tu dis ces sauvageons de Sarcelles ou de (...)
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Biensur qu’il faut cogner, il faut rendre leur virilité aux hommes. Et quand une personne (...)
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21/02 13:55 - Iren-Nao
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Je suis plutôt d’accord avec l’auteur, la violence ne sert à rien, pas plus que de (...)
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