Commentaire de Marc Viot
sur De la nécessité quelquefois impérieuse du coup de poing dans la gueule
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En me relisant, je note une mauvaise interprétation de ma part :
vous avez dit « Je suis entrain de sourire, il est vrai a la facilite d’exiter les abrutis » que j’avais entendu comme « réfléchir à la possibilité d’exciter des imbéciles ».
Aussi, vous voudrez bien ne pas tenir compte de l’exemple proposé pour illustrer le deuxième paradoxe
Sinon et pour compléter ma réflection, j’ai aussi une certaine vision d’une certaine éthique dans la pratique de la provocation, si c’est le cas du présent article.
Et si votre volonté est de provoquer, la façon de procéder, pour moi n’en respecte pas l’éthique.
Par exemple, pour moi, provoquer sans, à un moment, donner les clés pour expliquer le sens de sa provocation revient à manipuler autrui à son insu, ce qui est aussi une forme de violence ... psychologique cette fois.
Derniers commentaires
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22/02 09:58 - Voris
Georges Yang, vous êtes excessif comme gars. Si j’approuve parfaitement votre réaction (...)
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21/02 23:15 - Rough
Bravo Georges, Superbe article !....Comme tu dis ces sauvageons de Sarcelles ou de (...)
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21/02 23:05 - ChatquiChouine
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21/02 19:45 - johnford
Biensur qu’il faut cogner, il faut rendre leur virilité aux hommes. Et quand une personne (...)
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21/02 13:55 - Iren-Nao
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21/02 08:06 - Lucien Denfer
Je suis plutôt d’accord avec l’auteur, la violence ne sert à rien, pas plus que de (...)
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