Entièrement d’accord avec cet avis.
Sous prétexte des « erreurs » (involontaires ou calculées ? ) du GIEC, les libéraux se sont jetés, en masse, à la suite de la propagande menée depuis des dizaines d’années par les lobbies pétroliers (dont Exxon, entre autres), pour dénier tout problème de pollution, de réchauffement, de dérèglements climatiques, et s’opposer, ainsi à toute mesure contraignante, toute régulation risquant de contraindre les principales entreprises polluantes (pétrochimie, industries lourdes, semenciers, fabricants de pesticides, déchets nucléaires, etc...) à des mesures risquant de toucher à leurs bénéfices pharaoniques.
La loi du sacro-saint marché contre la survie de la planète ; tel est le débat en jeu.
Et les éternels complotistes de s’engouffrer dans cette pantomime, se transformant en dénégationnistes, dénonçant les « khmers verts » (ou rouges, c’est selon), faisant le jeu des pollueurs, qui ne demandent que ça.
Pas un instant, ils ne se posent la question de savoir pourquoi leurs positions s’alignent sur celles des pires lobbies libéraux ; il leur suffit d’avoir le sentiment jouissif (!) de démasquer les manifestations du « nouvel ordre mondial », quand ils font, en fait, son jeu.
Ils n’ont de cesse de braquer tous les projecteurs sur le CO2, quand tant d’autres GES et autres polluants sont ainsi passés sous silence.
Un leurre grossier, un « panneau » (pas solaire), dans lequel se précipitent des pseudo-scientifiques véreux, et la cohorte des anti-écolos, se partageant entre ceux qui ont intérêt à ce que surtout rien ne change, les éternels individualistes qui ne veulent pas renoncer au moindre avantage de leur mode de vie de surconsommateur, et la mafia des libéraux privatiseurs du vivant et dépeceurs de la planète.
A l’auteur de dire de laquelle de ces catégories elle fait partie.