@ AS (Anne-Sophie ?)
Bon papier, bon style, et en fait vous mettez bien l’accent sur la problématique actuelle :
1) Est-ce vraiment une liberté pour les femmes, que de faire 3 journées par jour ? (la journée de taff pour le patron, la journée pour s’occuper de la maison, et la journée pour s’occuper des enfants), le tout pour un salaire bien souvent très faible (dans le cadre du travail salarié) ; que de fatigues aussi, que d’épuisement !
2) Les femmes ne peuvent-elles être réduites, qu’à leur fonction biologique permettant la reproduction de l’espèce ? N’ont-elles pas droit à d’autres aspirations ?
Bien sûr que si, sera ma réponse, mais dorénavant je pense, la balle est dans le camps des femmes elles-mêmes.
Arriveront-elles à modifier cette société d’exploitation extrême (femmes, hommes, écosystèmes, formes de vies animales et végétales, biosphère, ressources...), de manière à mieux équilibrer leur désir de maternité (s’il existe, cela dépend de chaque femme en tant qu’individu), et leurs autres légitimes aspirations ?
La vidéo du LLP est bonne, mais parfois un peu excessive en ce qui concerne Elisabeth Badinter. Je l’apprécie beaucoup aussi (LLP) , mais il est vrai que vue la situation extrêmement favorisée de Madame Badinter, elle a tout intérêt (même si elle ne l’avouera jamais) à ce que ce type de société perdure : plus il y a d’exploitation, plus sa situation sociale perdurera : à cet égard, les explications du LLP sont très pertinentes !
Comme vous le dites fort justement AS, certaines femmes que vous décrivez, ne semblent pas avoir compris qu’en croyant se libérer, elles ne sont en fait qu’un rouage de la machine économique mondiale, qui lamine beaucoup d’êtres vivants, pour le profit d’un petit nombre !
Mais je pense que les femmes et les hommes, finiront par comprendre !
Cordialement
H /