quand vous aurez écrit ce qu’à écrit Elisabeth Badinter, vous pourrez peut-être venir un jour la critiquer : pour l’instant, contentez vous d’apprendre....
Les temps ont bien changé. A l’époque de Badinter, on faisait effectivement encore les enfants à la bonne franquette, on les élevait bon an, mal an, sans consulter psys et médecins à tour de bras. La maternité n’était pas un fait exceptionnel dans la vie d’une femme mais une simple normalité, pour ne pas dire formalité.
elle n’a pas cent ans....
« Madame Badinter a toujours fait des émules chez les petits bourgeois. »
ça c’est de la critique : fieleuse, mais aucunement argumentée.
« On adore Elisabeth Badinter dans les dîners en ville. »
faisons pareil : on vous loue où ? dans les cours de ferme, sur le tas de fumier ?
voyez, c’est facile à faire et c’est DEPLAISANT à lire.
« Si la place de l’enfant est surdimensionnée aujourd’hui ce n’est pas parce que les femmes sont devenues des mères parfaites comme le croit naïvement Elisabeth Badinter c’est parce que les petites bourgeoises rêvent d’un enfant parfait. »
n’utilisez donc pas SVP des expressions qui visiblement vous dépassent.« petites bourgeoises » est connoté années 70 : vous avez 60 ans pour parler ainsi ? NON ? alors c’’est du XIXeme : vous avez donc 150 ans, et c’est grave je pense.
« Elle les voit désireuses de devenir des mères parfaites quant en réalité le seul désir qui tenaille ces femmes est d’avoir un enfant parfait, ce qui s’apparente pour elles à un signe extérieur de réussite. »
décidément va falloir comment expliquer q’un imparfait puisse croire créer un parfait : c’est l’œuf et la poule : or une femme imparfaite ne peut envisager autre chose que l’imperfection : c’est pourtant simple à comprendre, sauf chez vous, visiblement.
« Voilà la vie de ces féministes accomplies qu’affectionne tant notre philosophe. »
a ce stade, on peut parler d’INJURE : Madame Badinter ne tresse en rien un portrait élogieux, mais bien son contraire : vous l’injuriez, là.
« Madame Badinter s’inquiète beaucoup pour ses femmes devenues esclaves de leur Maternité. Etrangement, je m’inquiète beaucoup plus pour leurs enfants… »
moi, je serais de vous, je m’inquiéterai sur vos capacités à lire un ouvrage.... et à venir après tenir un ramassis d’approximations et de vindicte gratuite...