il faudra examiner ce livre : je ne sais pas ce que ca vaut mais ca evite de parler dans le vide.
Extrait :
faire le moins souffrir possible l’animal. Et à c’est non seulement une intention, ce serait même quelque chose qui aurait été vérifié lors d’une expérience qui aurait été menée en Allemagne, à l’université d’Hanovre, par le Professeur Schultz et le Dr. Hazim : un animal est abattu après assommage, de la façon classique, tandis qu’un autre est abattu par une profonde incision pratiquée dans ses veines jugulaires, sa trachée artère et son oesophage. On a pris soin, auparavant, d’implanter sur chacun des deux un électroencéphalogramme et un électrocardiogramme. « Les résultats en ont surpris plus d’un (…). C’est l’animal abattu par la profonde incision qui souffre le moins.Trois secondes après l’incision, l’électroencéphalogramme montre en effet un état de profondeinconscience (qui est provoquée par la faible irrigation sanguine du cerveau, due à l’hémorragie). Six secondes après, l’électroencéphalogramme est plat (et il n’y a donc plus de douleur ressentie par l’animal). Pendant le même temps, le coeur continue à battre, et le corps de l’animal se tend vigoureusement (un réflexe dû au système nerveux), ce qui expulse le sang de façon maximale hors du corps, pour une viande plus saine. »
Schulze W, Schultze-Petzold H, Hazem AS, Gross R. : Objectivization of pain and consciousness in the conventional (dart-gun anesthesia) as well as in ritual (kosher incision) slaughter of sheep and calf. Dtsch Tierarztl Wochenschr. 1978 Feb 5 ;85(2):62-6. PMID : 342225 [PubMed - indexed for MEDLINE]
si quelqu’un à le courage de commander et lire.