« Qu’on le veuille ou non, la question des fins est indissociable de la « nature humaine », alors qu’elle ne se pose pas pour les animaux. Les espèces agissent par instinct, avec comme seule finalité celle de se reproduire, échapper aux prédateurs et se nourrir. L’homme a depuis longtemps réglé ces problèmes naturels. Il possède le libre arbitre et agit en fonction de choix et de projets, du moins sur le long terme. »
Ceux qui croient que l’être humain n’est pas un animal, quil est libéré de ses « instincts » comme vous dites, que ses actionssont dictées par un « libre arbitre » rationnel se trompent lourdement comme maintes études scientifiques le montrent.
L’homme est un animal, un mammifère bipède omnivore, et si vous cessiez d’en être, si vous ne respiriez pas par « instinct », vous ne vivriez pas longtemps. Comme tout animal il obéit d’abord à des « instincts » de survie, de survie de l’espèce, etc ...
D’autres expériences, maintes fois répétées, montrent que les animaux sont capables d’apprendre, voire de transmettre des connaissances, et toutes sortes d’autres comportements autrefois qualifiés d« humains ».
L’idée de l’homme être « unique » sur Terre, créé par Dieu pour soumettre les animaux, est révolue depuis un certain temps, sauf pour les croyants aveugles.
Rien que cette introduction est, pour le moins, contestable.
Quant à pré-supposer que seule la fin compte et l’emporte ainsi sur les moyens, c’est la porte ouverte à toutes les dérives.