- libre-échange avec des pays de niveau socio-économiques
différents.
C’est marrant ça, quand un boulanger fait du meilleur pain moins chère que son voisin, on ne râle jamais. On l’encourage même en devenant client régulier. Par contre dès qu’un pays peut faire mieux pour moins chère que chez nous là c’est inacceptable, honteux, voir même trop injuste. Sachant que la cherté du travail en Français, ce sont les Français qui l’ont en parti voulu avec le florilège d’aide sociales.
- privatisations injustifiées et
anti-démocratiques : cf autoroutes...
Les autoroutes n’auraient jamais du être publiques pour commencer.
- compression salariale.
Voyons voir.... si moins d’employés peuvent faire aussi bien que plus d’employés, on devrait par charité en conserver plus que nécessaire ?
-
désolvabilisation volontaire des services publics pour pouvoir les
vendre.
Services publiques qui, encore une fois, n’auraient pour la plupart pas du être publiques.
- on ne réduit pas les heures de travail par salariés.
haaaaaa le grand mythe de la tarte de l’emploi. Vous en reprendrez bien une petite part ?
- la moitié des entreprises privés ne devraient de toutes façon pas
exister : ce sont des entreprises para-publiques qui dépendent des
commandes ou du soutien de l’Etat pour leur existence.
Tout à fait. enfin quelque chose de logique. Je trouve moi aussi irresponsable de court circuiter les mécanismes naturels de purge de l’économie que sont les faillites.