Président des fous ? Faudra-t-il un seul exemple, pour démontrer l’absurdité du raisonnement présidentiel, ou son absence totale de discernement ?
Avec le cas Dupuy, nous pourrions dire que Nicolas Sarkozy va plus loin, et régresse surtout au niveau du Moyen Âge.
Un nouveau grand enfermement se prépare donc, dans un pays, pourtant, où nous n’avons pas d’injection létale, il est vrai. Les dires d’un candidat à la présidentielle sur la génétique et son fondement n’étaient donc pas anodins. La vision qu’a ce même candidat devenu président n’a donc pas changé. Elle fait frémir. L’homme se veut « de raison », la sienne s’entend, c’est pour cela qu’il s’en prend à l’anormalité.
« Nicolas Sarkozy en Berlusconi, on en a déjà parlé, mais ce n’est pas ça non plus. Non s’il y a bien un homme politique auquel il pourrait ressembler, en raison de ses frasques amoureuses et de quelques détails de vie privée, c’est Carlos Menem. »
« De Tartarin, il a la verve et la posture : le haut du corps en arrière pour apostropher un marin vindicatif, ou pour tenir tête à un technicien SNCF. Aux tarterets, le toujours juste Plume de presse aussi avait remarqué un côté Tartarin prononcé, par son côté bonimenteur de foire et vendeur au parapluie. »
Quant à ta précédente lettre au président, tout le monde l’avait à juste titre oubliée. Elle était moins rampante que celle d’aujourd’hui.
Conclusion, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis.