con-biendit et bove sont des arrivistes
on retourne sa veste des
que le pognon et l’immunite arrive
L’immunité ??
Fichtre !
Quand tu auras les c..... de Bové, qui, pour défendre l’intérêt
commun, a pris tant de risques, et FAIT DE LA TAULE, tu pourras te poser
en donneur de leçons...
Immunité ?
Parcours
judiciaire [modifier]
Au cours de son parcours judiciaire, José Bové a été accompagné par
François Roux, avocat à la Cour de Montpellier. En 2003, José
Bové a sollicité une grâce présidentielle. Il a été entendu puisqu’il a
été partiellement gracié et le reste de sa peine adapté. Il n’est resté
en prison qu’un mois et 10 jours au lieu des 22 mois prononcés contre
lui. Dans des conditions normales de remise de peine, il aurait dû
effectuer au minimum 7 mois de prison.
- 1976
Condamnation à quatre mois de prison avec sursis et privation de ses
droits civiques pour activités antimilitaristes (il avait volé des
documents concernant un projet d’extension du camp militaire du Larzac)[34].
- 18 février 1998 :
condamnation à huit mois de prison avec
sursis par le Tribunal correctionnel d’Agen pour la
destruction d’un stock de semences transgéniques sur
un site de Novartis à Nérac en Lot-et-Garonne.
- 20 octobre 1998 : le Tribunal
de Tahiti
le reconnaît coupable d’entrave volontaire à la navigation ou à la
circulation d’aéronef. Néanmoins, il est dispensé de peine.
- 27 octobre 1999 : le
Tribunal correctionnel de Rodez (Aveyron) le reconnaît coupable, avec 8 membres
de la Confédération paysanne, de « violence
en réunion ». En mars 1999, ils avaient séquestré trois fonctionnaires de la
préfecture. Néanmoins, il est dispensé de peine.
- 13 septembre 2000 : trois
mois de prison ferme par le Tribunal correctionnel de Millau
pour le vandalisme du chantier de McDonald’s le 12 août 1999. Le 22 mars 2001, la Cour d’appel de Montpellier
confirme la peine, et le condamne à 6 000 francs
d’amende (915 €) pour
la brève séquestration des fonctionnaires de la Direction
départementale de l’Agriculture de Rodez en
mars 1999.
- 20 /fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9cembre_2001" title= »Décembre
2001">décembre 2001 : la Cour d’appel de Montpellier condamne José
Bové à six mois d’emprisonnement pour destruction de plants de riz transgénique en juin 1999 dans une
serre du CIRAD (peu de temps avant qu’il soit planté en Camargue)
à Montpellier. En première instance, le 15 mars
de la même année, le tribunal correctionnel de Montpellier avait infligé
dix mois d’emprisonnement avec sursis et deux ans de mise à l’épreuve à
José Bové.
- 6 février 2002 : la Cour de cassation rejette son
pourvoi formé au sujet de sa condamnation à trois mois d’emprisonnement
ferme pour les dégradations du McDonald’s de Millau.
Elle fait de même à l’encontre de sa condamnation à 915 € d’amende dans l’affaire de
Rodez.
- Du 19
juin
au 1er août 2002 : José
Bové purge le reliquat de sa peine de trois mois d’emprisonnement pour
la destruction du McDonald’s de Millau, à
la maison d’arrêt de Villeneuve-lès-Maguelone (Hérault) (trois semaines de détention provisoire avaient déjà été
effectuées en 1999).
- 22 octobre 2002 : le
Tribunal correctionnel de Foix le condamne à 100 jours-amende d’un
montant de 30 € par jour, pour
le fauchage, en avril 2000 d’un champ expérimental de colza transgénique
cultivé par le Centre technique interprofessionnel des oléagineux
métropolitain (Cetiom) à Gaudiès (Ariège). José Bové ne fait pas appel.
- 19 novembre 2002 : la Cour de cassation rejette le
pourvoi formé contre sa condamnation par la Cour d’appel de Montpellier
le 20 /fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9cembre_2001" title= »Décembre
2001">décembre 2001 à six mois d’emprisonnement ferme pour la
destruction de plants de riz transgénique en juin 1999.
- 26 février 2003 :
condamnation à dix mois de prison ferme. Rejet du pourvoi par la Cour de
cassation à l’encontre de la peine de six mois de prison prononcée par
la Cour d’appel de Montpellier fin 2001 et révocation de la moitié du
sursis des huit mois prononcé par le Tribunal correctionnel agenais. Les
condamnations en question sanctionnent la destruction de plants de riz
transgénique au centre CIRAD de Montpellier et de semences de maïs
transgénique dans les locaux de la société Novartis à Nérac.
- 22 juin 2003 :
incarcération à la prison de Villeneuve-lès-Maguelone.
- 2 août 2003 : libéré
suite à une grâce
présidentielle (à l’occasion du 14 juillet) et aménagement de peine
avec assignation à résidence.
- 8 novembre 2004 : cité à
comparaître devant le tribunal de Toulouse
pour répondre de sa participation à une action de destruction de
parcelle de maïs transgénique le 25 juillet 2004 à Menville
dans le département de la Haute-Garonne
avec huit autres personnes inculpées (le député (Verts) /fr.wikipedia.org/wiki/No%C3%ABl_Mam%C3%A8re" title= »Noël
Mamère« >Noël Mamère, le député européen (Verts) Gérard Onesta, José Bové, les élus municipaux toulousains
François Simon (ex-PS) et Pierre Labeyrie (Verts), l’ancien secrétaire
national des (Verts), /fr.wikipedia.org/wiki/Gilles_Lemaire" title= »Gilles
Lemaire« >Gilles Lemaire, et le conseiller régional d’Aquitaine (Verts), Michel Daverat, Jean-Baptiste Libouban, des Communautés de
l’Arche (fondées par Lanza del Vasto), fondateur du mouvement des faucheurs
volontaires et un agriculteur Jean-Aimé Gravas). La cour a accepté de
juger les 224 autres personnes qui avaient participé à cette
manifestation et qui revendiquaient leur geste comme une « action
collective de désobéissance civile ».
- 17 mars 2005 :
audience en appel de cette décision, à la demande du Ministère public,
qui souhaitait limiter le jugement aux 9 principaux prévenus, et non à
l’ensemble des faucheurs volontaires.
- 15 novembre 2005 :
condamnation à 4 mois de prison ferme par la Cour d’appel de Toulouse.
Il se pourvoit en cassation.
- 7 février 2007 : rejet
de son pourvoi en cassation. Il déclare : « Je serai peut-être le
premier prisonnier politique qui sera en même temps candidat à
l’élection présidentielle », cette déclaration a été critiquée par
l’avocat et blogueur Eolas (pseudonyme), car selon lui, José Bové savait
qu’il n’y avait aucune chance pour qu’il aille en prison avant
l’échéance électorale[35].
... désolé, je dois poster en 2 fois ; le message est trop long, parait-il....